mardi 8 novembre 2011

Je choisis toujours le titre à la fin

Le soleil bas vient nous éblouir jusqu'au milieu du salon.

J'apprends à vivre, j’essaie de vivre, le plus sereinement possible. Je vois mes soucis, les gens mauvais, balayer comme les feuilles mortes dans un coup de vent.

Les grandes décisions ne sont pas toujours évidentes, mais souvent plus elles sont dures à prendre, le mieux c'est au final.

J'ai décidé d'arrêter d'essayer de comprendre, le pourquoi du comment. Décidé d'assumer que parfois il n'y a aucune explications, qu'il n'y a rien à faire.

Comme le poids d'un immeuble qui s'évanouit de mes -pas très larges- épaules. Il fait bien parfois de ne plus rien ressentir plutôt qu'être anxieux. Car Ô vous, gens qui vous reconnaissez, gens qui faites si mal semblant de ne pas savoir et de ne pas vous intéressez à chacun des mots écrits ici. À vous qui êtes si loin de l'indifférence, l'attention que vous me portez avec vos gamineries sont de l'énergie dépensée au néant, à vous, bonne chance.

Il m'aura prit beaucoup plus de temps que je ne l'aurais voulu, presque trop, pour qu'enfin je ne m'en fasse plus. Pour qu'enfin vos magouilles ne m'atteignent plus malgré la proximité obligé. Bien heureuse la petite scorpionne qui s'en fout sans malice, là est la différente.. MALICE!

Le soleil bas me souffle un presque été indien à travers les vitraux. J'ai quelques papillons, je l'avoue, qu'enfin dans mes pensées quotidiennes il n'y ait que des êtres qui me font sourire plus que soupirer.

1 commentaire:

  1. Props, la scorpionne! et vlan dans les dents à tous ces salopards malicieux de la terre.

    Un ami et moi:
    -Ya du monde cave
    -Ya du monde méchant
    -Ya des méchants caves

    Dracheuse xx

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